Article paru sur le portail Internet d'AmériQuébec.net le 25 mai 2011
Aucun département d’histoire francophone au Québec ne dispose d’un professeur-chercheur reconnu pour ses travaux sur les rébellions de 1837/1838. Dans n’importe quel pays normal, il existerait au moins une chaire de recherche universitaire dédiée à des événements aussi considérables.