Article de Bahador Zabihiyan, dans Le Devoir, le 21 mai 2013.
Pauline Marois veut renforcer l’enseignement de l’histoire au Québec, du primaire au collégial, car elle estime qu’il est présentement défaillant. Ce renforcement prendra toutefois « quelques années » avant d’être mis en oeuvre, a-t-elle fait savoir lundi, lors d’un discours à l’occasion de la Journée nationale des patriotes, prononcé à Saint-Eustache.
L’histoire est mal enseignée au Québec, et ce, à tous les niveaux, pense la première ministre. « Nous croyons que l’on a un peu édulcoré ce qui se fait en enseignement de l’histoire au Québec, et c’est ce à quoi nous voulons revenir, les bases d’un enseignement qui permet de comprendre les différentes périodes de notre vie collective, dont celle des patriotes », a expliqué Mme Marois, lors d’un point de presse à Saint-Eustache.
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