Un article de la rédaction dans le journal Métro, le 24 avril 2012.
Près d’un Québécois sur deux est insatisfait de la qualité de l’enseignement de l’histoire du Québec.
Selon un sondage réalisé pour le compte de la Fondation Lionel-Groulx, 52 % des Québécois (59 % chez les francophones) considèrent que le nombre de cours est insuffisant.
De plus, 87 % des répondants considèrent qu’à la fin du secondaire, les élèves devraient avoir une bonne connaissance des grands moments et des grands personnages de l’histoire du Québec. La Coalition pour l’histoire rappelle pourtant que cet enseignement tend à s’effacer des programmes scolaires.
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