Le président de la Fondation Lionel-Groulx, M. Claude Béland, et le porte-parole de la Coalition pour l’histoire, M. Robert Comeau, ont dévoilé aujourd’hui les résultats d’un sondage commandé par la Fondation Lionel-Groulx et réalisé par Léger Marketing sur l’enseignement de l’histoire du Québec.
Une insatisfaction partagée par un grand nombre de citoyens
Le sondage montre que les Québécois, en particulier les Québécois francophones, sont mécontents de l’enseignement de l’histoire du Québec dans le réseau scolaire. Ainsi, moins du quart (24%) des personnes interrogées sont d’avis que le nombre de cours d’histoire est suffisant. Une proportion de 52% (59% chez les francophones) juge au contraire le nombre de cours insuffisant. 48% des Québécois francophones se déclarent en outre globalement insatisfaits de la qualité de l’enseignement de l’histoire du Québec contre 32% qui s’estiment satisfaits.
Lorsque j’ai commencé à écrire des romans historiques, j’étais loin de me douter que j’allais enseigner l’histoire. Et pourtant, c’est bien ce qui s’est passé. Je ne compte plus les lecteurs du Roman de Julie Papineau qui m’ont avoué candidement qu’ils ne savaient presque rien de la Rébellion.
C’est aujourd’hui, 15 février 2012, que la pétition réclamant un meilleu