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Le président de la Fondation Lionel-Groulx, M. Claude Béland, et le porte-parole de la Coalition pour l’histoire, M. Robert Comeau, ont dévoilé aujourd’hui les résultats d’un sondage commandé par la Fondation Lionel-Groulx et réalisé par Léger Marketing sur l’enseignement de l’histoire du Québec.

Une insatisfaction partagée par un grand nombre de citoyens

Le sondage montre que les Québécois, en particulier les Québécois francophones, sont mécontents de l’enseignement de l’histoire du Québec dans le réseau scolaire. Ainsi, moins du quart (24%) des personnes interrogées sont d’avis que le nombre de cours d’histoire est suffisant. Une proportion de 52% (59% chez les francophones) juge au contraire le nombre de cours insuffisant. 48% des Québécois francophones se déclarent en outre globalement insatisfaits de la qualité de l’enseignement de l’histoire du Québec contre 32% qui s’estiment satisfaits.

Montréal (Québec), le 5 mars 2012 – La Coalition pour l’histoire, qui se consacre à la promotion de l’enseignement de l’histoire, a aujourd’hui rendu hommage au cégep régional de Lanaudière pour la qualité de son offre de cours en histoire du Québec.

À l’occasion d’un événement tenu dans la constituante de Terrebonne du cégep de Lanaudière, en présence du directeur général de cette institution, M. Marcel Côté, du président de l’Association des professeures et professeurs d’histoire des collèges du Québec, M. Vincent Duhaime, du député de Terrebonne à l’Assemblée nationale du Québec, M. Mathieu Traversy, et de plusieurs représentants du corps professoral, l’historien Gilles Laporte, l’un des porte-parole de la Coalition, a salué l’initiative du cégep de Lanaudière qui a considérablement augmenté et diversifié depuis un an son offre cours en histoire du Québec.

Micheline LachanceLorsque j’ai commencé à écrire des romans historiques, j’étais loin de me douter que j’allais enseigner l’histoire. Et pourtant, c’est bien ce qui s’est passé. Je ne compte plus les lecteurs du Roman de Julie Papineau qui m’ont avoué candidement qu’ils ne savaient presque rien de la Rébellion.

Pour certains, les troubles de 1837-1838 avaient été une guerre entre Canadiens français et Canadiens anglais, et non pas une lutte pour la démocratie, comme ce fut aussi le cas dans le Haut-Canada. On ne croyait pas non plus que les patriotes comptaient dans leurs rangs des citoyens anglophones. Ni que le parlement du Canada avait déjà eu pignon sur rue à Montréal.

Une histoire javellisée au service du présentMontréal, le 1er mars 2012 – Le porte-parole de la Coalition pour l’histoire, Robert Comeau, et l’historienne et chercheure, Josiane Lavallée, rendaient public aujourd’hui en conférence de presse les résultats d’une enquête réalisée auprès des enseignants d’histoire du secondaire qui révèle qu’ils sont insatisfaits des programmes qu’ils ont à enseigner, car ils sont trop axés sur l’éducation à la citoyenneté et le présent et pas assez sur l’acquisition des connaissances historiques.

Montréal, le 28 février 2012 – Le porte-parole de la Coalition pour l’histoire, Robert Comeau, et l’historienne et chercheure, Josiane Lavallée, invitent les représentants des médias à une conférence de presse où seront présentés les résultats d’une enquête effectuée par Mme Lavallée qui démontre clairement que les enseignants d’histoire au niveau secondaire souhaitent vivement des modifications aux contenus des programmes d’histoire et éducation à la citoyenneté.

L’historienne, romancière et biographe (auteure de Le Roman de Julie Papineau, Lady Cartier et Les Filles tombées), Micheline Lachance, participera à la conférence de presse. Sera également présent, Gaston Bergeron, président de la Fondation du prêt d’honneur, laquelle a subventionné cette étude.

Cette conférence de presse se tiendra :
Le jeudi 1er mars 10h
À la Maison Ludger-Duvernay

PétitionC’est aujourd’hui, 15 février 2012, que la pétition réclamant un meilleu