Revue de presse

Article de Josiane Desjardins paru dans le journal 24 H du 25 novembre 2010.

Article de Charles Poulin paru dans Rue Frontenac du 25 novembre 2010.

Article d’Arianne Lacoursière, dans La Presse du 25 nouvembre 2010

Les cours d'histoire du Québec sont en voie de disparition dans les cégeps de la province. Une nouvelle étude révèle que seulement 23% des cégépiens suivent des cours d'histoire durant leurs études et, de ce nombre, seulement 8% s'inscrivent dans des cours d'histoire du Québec. Alors que les jeunes du collégial sont en âge de se forger une identité, le gouvernement devrait leur imposer des cours d'histoire de la nation, selon la Coalition pour l'histoire au Québec.

Article d'Annie Mathieu dans La Presse Canadienne pour la Presse Canadienne le mercredi 24 novembre 2010.

L'enseignement de l'histoire du Québec au collégial est en déclin, selon une étude dévoilée mercredi par la Fondation Lionel-Groulx, qui suggère l'instauration d'un cours obligatoire dans la formation générale de tous les étudiants.
Les auteurs de la recherche intitulée «Je ne me souviens plus», l'historien Gilles Laporte et une candidate à la maîtrise en histoire, Myriam D'Arcy, parlent même d'un «véritable désastre éducatif national».

Et pour étayer leur conclusion, ils énumèrent une série de constats. Par exemple, disent-ils, parmi les 12 grandes compétences acquises par les étudiants à la fin de leur parcours collégial, il n'y a aucune allusion à la «culture historique» des Québécois.

Article de Vigile.net paru le 12 novembre 2010

Le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, a annoncé ce matin en conférence de presse la nomination de Gilles Laporte au titre de Patriote de l’année :

« C’est avec une immense fierté que nous décernons ce titre à Gilles Laporte pour sa contribution exceptionnelle à la promotion de l’histoire nationale. Il a joué un rôle clé dans la campagne qui a donné lieu à la proclamation de la Journée nationale des patriotes, et par la suite, dans la diffusion du contenu historique associé à cet événement. Il a démontré une rigueur intellectuelle et une ténacité exemplaire dans son analyse critique de l’enseignement de l’histoire au Québec. C’est non seulement un professeur efficace et dévoué, mais un acteur social qui s’implique dans pratiquement tous les milieux reliés à la promotion et à l’enseignement de l’histoire. »

Article de Mélanie Colleu sur le site Internet du 24H - 12 novembre 2010 18h09

Séduite par son dévouement et son engagement pour l’identité nationale québécoise, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a nommé l’historien et enseignant Gilles Laporte « Patriote de l’année », vendredi.
À la fois surpris et ravi de voir ses actions récompensées, Gilles Laporte se veut « patriote de l’éducation » et souhaite profiter de ce titre pour multiplier ses interventions auprès de la population québécoise. « C’est au titre d’enseignant que j’accepte ce prix. L’éducation est à la dérive, il faut faire bouger les choses », a-t-il déclaré.

Gilles Laporte prend cette nomination très au sérieux et souhaite utiliser cette vitrine pour faire davantage parler d’éducation et d’enseignement autour de lui, notamment dans les médias.

Article de Le Devoir avec La Presse canadienne, 13 novembre 2010