Revue de presse

Article et reportage de Jean-Francois Lixon sur FranceTV Info, 18 septembre 2013.

Opinion de Claude Poulin dans le Journal de Québec, le 17 septembre 2013.

Article de Francis Beaudry dans Impact Campus (journal des étudiant(e)s de l'Université Laval), 9 sept 2013.

La session parlementaire n’était pas encore débutée que le gouvernement du Québec commençait à mettre cartes sur table au sujet de la session parlementaire d’automne.

Un enseignement de l’histoire à refondre et à bonifier

Le Parti Québécois, ainsi que le ministre de l’Éducation supérieure Pierre Duchesne et son homologue au primaire et secondaire Marie Malavoy vont proposer à l’assemblée nationale d’adopter une série de mesures qui vont viser à renforcer l’enseignement de l’histoire du Québec. Selon un communiqué de presse du Parti québécois, il devenait évident que ce projet était une étape à franchir, puisque la première ministre Pauline Marois avait insisté sur un tel projet lors de son discours du trône à l’automne dernier.

Lettre d'André Ségal, professeur retraité de l’Université Laval, auteur de L’histoire et moi, dans Le Devoir, 17 septembre 2013.

L’histoire n’est pas une affaire d’enfants et les adultes qui ne l’ont étudiée qu’à l’école en ont gardé des souvenirs enfantins. C’est pourquoi l’apprentissage de la pensée historique est indispensable pour les jeunes adultes des cégeps. Car l’histoire est d’abord une relation à la durée. Les individus comme les sociétés sont les résultats de leur histoire. La durée englobe l’avenir qu’on peut difficilement prévoir, mais dans lequel on ne peut se projeter sans une conscience aiguisée du passé.

Billet de Normand Baillargeon dans le blogue Prise de tête (Voir.ca), 11 septembre 2013.

Billet de Marc-André Cyr dans le blogue Mouvement sociaux (Voir.ca), 10 septembre 2013.

L’objectif est clair. Le nouveau cours d’histoire du Québec vise à « renforcer l’identité québécoise »[1]. Cette histoire, telle que l’affirment avec une franchise étonnante les bonzes du gouvernement, viserait à valoriser une « facette de notre identité qui n’est pas suffisamment valorisée » [Marois], elle aurait comme objectif de « valoriser l’identité et la culture québécoises »[Malavoy].

À la tête du comité à l’origine de ce cours obligatoire : Jacques Beauchemin, un intellectuel cumulant les emplois auprès du gouvernement péquiste. C’est Beauchemin, principalement, qui est derrière la définition de l’identité mise de l’avant par le PQ depuis quelques années. Son influence est par ailleurs indéniable auprès du PQ et de sa grande cheffe [2].

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Lettre de Claude Tousignant dans LaPresse.ca, le 9 septembre 2013.